Capote Française M1916 Laine Bleu Horizon Premium – Militaria WW1

Reproduction premium de la capote en laine bleu horizon portait par les soldats français lors de la première guerre mondiale, modèle 1916.

Caractéristiques principales de la capote M1916

• Couleur : Ce fameux bleu horizon, entre gris bleuté et bleu clair, qui variait selon les lots de tissu, les bains de teinture ou les conditions d’usure.
• Matière : Laine épaisse et chaude, indispensable pour supporter les conditions difficiles du front
• Coupe : Longue (mi-mollet), avec une double rangée de boutons (boutonnage croisé), inspirée des capotes plus anciennes.
• Col : Col droit bleu horizon, fermé par une patte de col, qui protège bien du vent et de la boue.
• Pattes d’épaule : Présentes pour identifier le régiment et le grade du soldat.

Guide des tailles : 

• T-L : Epaule : 52.5 cm / Manche : 64.5 cm / Poitrine : 137 cm

Origine et contexte historique de la capote bleu horizon

Au début de la Première Guerre mondiale (1914), l’armée française portait encore la célèbre tenue « garance » : pantalon rouge et veste bleu foncé. Très voyante et peu adaptée à la guerre moderne, elle a vite été remplacée par la tenue dite bleu horizon à partir de 1915.
Le bleu horizon (un gris-bleu clair) a été choisi pour sa capacité à mieux se fondre dans le paysage, notamment dans la brume ou la boue des tranchées.

Usage sur le front

La capote servait de manteau principal, indispensable dans la boue, la pluie et le froid des tranchées. Les soldats pouvaient y rouler une couverture ou attacher un équipement supplémentaire grâce aux sangles.
Elle était lourde et peu pratique dans certaines conditions, mais très résistante.

Aujourd’hui

La capote bleu horizon est une pièce iconique recherchée par :

• Les collectionneurs de militaria WW1

• Les reconstituteurs historiques, qui cherchent une silhouette fidèle à la Grande Guerre

• Les musées et expositions, pour illustrer l’évolution de l’uniforme français

Elle symbolise aujourd’hui la silhouette du « Poilu » (surnom donné aux fantassins français) et fait partie intégrante de la mémoire collective liée à 14-18.